Sunday 28 September 2014

PADDLING IN PORTIXOL

Hier, je suis allée pour la deuxième fois en la fédération de canoë-kajak. Cette fois, nous avions un canoë fermé. Ce n’était pas la première fois que j’en montais un. Tout à fait, Johannes avait acheté deux piraugues en Août 2009 et, à cette époque là, nous allions plusieurs fois en Colonnia San Pere, Cala Falco, Pollença et Malpas. Un jour, nous nous approchions même à “Sa Dragonera”. Mais, lorsque je commençait à tourner, Johannes criait comme un fou:

-            Luisa! Rétourné! Qu’est-ce que je vais dire à ta mère, si tu as un accident?

C’est bien vrai que la mer était assez forte. Et, quand nous sommes rentrés à la plage, la canoë était plein d’eau.

Hier après-midi, lorsque nous quittions le port, il y avait des vagues. Impossible de vous dire ses dimensions en termes techniques, mais, si on mesurait les ondes avec des empans ils auraient eu facilement trois ou quatre. L’instructeur allait en avant, dans le zodiaque, ce qui nous donnait un certain sentiment de sécurité. Cependant, il a souligné qu’il y avait un certain risque et qu’il était important de suivre quelques directrices. Après la théorie, nous faisions des manoeuvres simples: aller ici ou là-bas... tourner à gauche ou à droite... rétourner...

Quand l’instructeur commentait les consignes de sécurité, je me rendais compte à quel point nous étions sortis à la mer à le style “Red-Riding-Hood” (tra-la-la). Quand le danger est ignoré, il n’y a aucune crainte... quand même, les accidents peuvent se produire.

Nous sommes arrivés dans un ruisseau. L’instructeur donnait des instructions du Zodiac:

-            Allez loin des baigneurs et des pêcheurs!

Quelque baigneur est venu vers nous pour nous demander à haute voix “où est-ce qu¡il pouvait louer un canoë”. Une dame nous a demandé s’l y avait des courses pour les enfants.

Et, lorsque nous rétournions au Portixol, avec les vagues en arriére, en corrigeant le trayect chaque deux ou trois coups, nous voyions le soleil se coucher de la pirogue. L’eau était gazeuse, l’horizon rouge pendant que la mer avalait le soleil et  la pensé était axée sur pelleter fort et droit. Le Portixol a une touche zen, quand on le vois de la mer.



 
Copyright Luisa Fernández Baladrón